Combien ça coûte ?
J'étais en fin de semaine dans les magasins et tout à coup, je me suis revue à Seoul, il y a un mois.
Dans les magasins, pas de prix affichés : il faut demander. Jusque-là, pas besoin de parler coréen, il suffit de montrer l'objet avec un air interrogateur et le vendeur sort sa grosse calculette et au bout de deux ou trois opérations, il affiche un prix et vous montre la calculette.
Heureusement, ils ont tous la même calculette, bien grande avec des chiffres lisibles même par des cinquantenaires à l'oeil un peu fatigué !
Vous voilà donc avec un prix en won. La question est : ça fait combien en euros ?
Vous entreprenez donc de diviser la somme indiquée par 1000, ça va encore, puis de rediviser ce qui reste en trois, pour en garder les deux tiers.
Là, vous avez un prix en euros !
Souvent, ça ne nous paraît pas très cher et c'est normal, car ici, on est plutôt dans la zone dollar, dévaluée en ce moment par rapport à l'euro. Pour être sûr, on refait deux ou trois fois son calcul, c'est si facile de se tromper.
Mais si vous voulez vraiment cet objet et qu'il vous semble cher, il faut marchander. Et là, soit vous avez avec vous un ou une coréenne, soit vous n'avez pas.
Si vous êtes seul la négociation va s'avérer complexe et il vaut mieux renoncer à moins d'être dans un grand magasin où quelques vendeuses parlent un peu anglais.
Si vous êtes avec une coréenne, ce qui était souvent notre cas, vous la laissez faire, et alors, au bout de dix minutes d'une âpre discussion, le vendeur tape un prix sur sa calculette et vous n'en revenez pas : le prix a baissé miraculeusement de 30 à 40 % !
Du coup, vous avez envie d'essayer avec tout ce qui vous a fait envie, mais bon, à coups de dix minutes par objet, ça devient vite long et ennuyeux !
Et voici pourquoi j'ai finalement rapporté peu de souvenirs...
Dans les magasins, pas de prix affichés : il faut demander. Jusque-là, pas besoin de parler coréen, il suffit de montrer l'objet avec un air interrogateur et le vendeur sort sa grosse calculette et au bout de deux ou trois opérations, il affiche un prix et vous montre la calculette.
Heureusement, ils ont tous la même calculette, bien grande avec des chiffres lisibles même par des cinquantenaires à l'oeil un peu fatigué !
Vous voilà donc avec un prix en won. La question est : ça fait combien en euros ?
Vous entreprenez donc de diviser la somme indiquée par 1000, ça va encore, puis de rediviser ce qui reste en trois, pour en garder les deux tiers.
Là, vous avez un prix en euros !
Souvent, ça ne nous paraît pas très cher et c'est normal, car ici, on est plutôt dans la zone dollar, dévaluée en ce moment par rapport à l'euro. Pour être sûr, on refait deux ou trois fois son calcul, c'est si facile de se tromper.
Mais si vous voulez vraiment cet objet et qu'il vous semble cher, il faut marchander. Et là, soit vous avez avec vous un ou une coréenne, soit vous n'avez pas.
Si vous êtes seul la négociation va s'avérer complexe et il vaut mieux renoncer à moins d'être dans un grand magasin où quelques vendeuses parlent un peu anglais.
Si vous êtes avec une coréenne, ce qui était souvent notre cas, vous la laissez faire, et alors, au bout de dix minutes d'une âpre discussion, le vendeur tape un prix sur sa calculette et vous n'en revenez pas : le prix a baissé miraculeusement de 30 à 40 % !
Du coup, vous avez envie d'essayer avec tout ce qui vous a fait envie, mais bon, à coups de dix minutes par objet, ça devient vite long et ennuyeux !
Et voici pourquoi j'ai finalement rapporté peu de souvenirs...