Le fusil et le cerf-volant
Un film, un livre, qui n'ont pas grand chose à voir si ce n'est qu'ils ont constitué une partie de ma semaine culturelle !
Le film c'est : Les cerfs-volants de Kaboul, tiré du livre du même titre.
Le livre, c'est Le fusil de chasse de Yasushi Inoué.
Deux bons moments , il faut donc en parler !
Trois lettres, trois serpents, trois femmes et 90 pages...
La même histoire vue par ces trois personnes,
ou bien une histoire pour chacune ?
Le chasseur qui est au centre,
un poème écrit un peu par hasard sur lui
et voilà qu'il donne à voir sa vie racontée par trois femmes.
Trois femmes qui ont compté et qui l'ont quitté.
Une histoire écrite simplement, rien d'inutile.
Où l'on constate que chacun vit sa vie et ses drames à sa façon, les univers sont parallèles.
Pas plus d'une heure ou deux pour lire ce court roman, mais on reste longtemps ensuite dans l'univers qu'il a créé en nous.
Moi, je conserve l'image du dos du chasseur, qui escalade la pente et dont la solitude est palpable.
Cela me suffit à revivre toute l'histoire...
Les cerfs-volants de Kaboul en images, j'y suis allée pour voir, le livre était tellement bien ! J'allais être forcément déçue !
Oui, c'est vrai que je sors du film moins marquée qu'après la lecture du livre, mais celui-ci n'est pas trahi, loin de là.
C'est bien la mise en images de cette histoire de l'Afghanistan des trente dernières années, en toile de fond de l'histoire d'amitié entre deux garçons, manipulés par l'histoire, l'histoire compliquée d'un pays qui ne sait plus vraiment où il va.
On retrouve les moments forts du livre, les dialogues, portés par des comédiens vraiment bien comme les deux enfants, très attachants, mais aussi les adultes, comme Amir et son père.
Le film met des images sur le pays, sur la ville, et ce qu'elle devient, dévastée , sous le règne des Talibans. On y voit aussi la communauté afghane en Californie, bref, on découvre le destin d'un pays et de ses habitants qu'on avait tendance à se représenter uniquement sous la domination des Talibans. La réalité est plus complexe !
Les combats de cerfs-volants font la poésie du film en faisant revivre l'insouciance de l'enfance, avant les drames.
Et l'on suit intensément la culpabilité qui ronge Amir, avant qu'il n'obtienne le pardon, et qu'il puisse se racheter de sa honte.
Bref, si mon article sur le livre ne vous a pas donné envie de le lire, vous pouvez encore vous rattraper avec le film !
Le film c'est : Les cerfs-volants de Kaboul, tiré du livre du même titre.
Le livre, c'est Le fusil de chasse de Yasushi Inoué.
Deux bons moments , il faut donc en parler !
Trois lettres, trois serpents, trois femmes et 90 pages...
La même histoire vue par ces trois personnes,
ou bien une histoire pour chacune ?
Le chasseur qui est au centre,
un poème écrit un peu par hasard sur lui
et voilà qu'il donne à voir sa vie racontée par trois femmes.
Trois femmes qui ont compté et qui l'ont quitté.
Une histoire écrite simplement, rien d'inutile.
Où l'on constate que chacun vit sa vie et ses drames à sa façon, les univers sont parallèles.
Pas plus d'une heure ou deux pour lire ce court roman, mais on reste longtemps ensuite dans l'univers qu'il a créé en nous.
Moi, je conserve l'image du dos du chasseur, qui escalade la pente et dont la solitude est palpable.
Cela me suffit à revivre toute l'histoire...
Les cerfs-volants de Kaboul en images, j'y suis allée pour voir, le livre était tellement bien ! J'allais être forcément déçue !
Oui, c'est vrai que je sors du film moins marquée qu'après la lecture du livre, mais celui-ci n'est pas trahi, loin de là.
C'est bien la mise en images de cette histoire de l'Afghanistan des trente dernières années, en toile de fond de l'histoire d'amitié entre deux garçons, manipulés par l'histoire, l'histoire compliquée d'un pays qui ne sait plus vraiment où il va.
On retrouve les moments forts du livre, les dialogues, portés par des comédiens vraiment bien comme les deux enfants, très attachants, mais aussi les adultes, comme Amir et son père.
Le film met des images sur le pays, sur la ville, et ce qu'elle devient, dévastée , sous le règne des Talibans. On y voit aussi la communauté afghane en Californie, bref, on découvre le destin d'un pays et de ses habitants qu'on avait tendance à se représenter uniquement sous la domination des Talibans. La réalité est plus complexe !
Quant à l'histoire d'amitié, on la retrouve, édulcorée sur la fin, mais plutôt bien rendue.
Et l'on suit intensément la culpabilité qui ronge Amir, avant qu'il n'obtienne le pardon, et qu'il puisse se racheter de sa honte.
Bref, si mon article sur le livre ne vous a pas donné envie de le lire, vous pouvez encore vous rattraper avec le film !