Chronique du temps qui passe

Hier, pas d'article : j'ai passé une bonne partie de l'après-midi dans le flou à cause d'un fond d'oeil et de pupilles dilatées. Et du coup, j'ai pour une fois regretté ce soleil traître qui me faisait pleurer en me regardant sans arrêt !
Vive le brouillard, me suis-je dit !
Et ce matin, où mes yeux ont retrouvé un fonctionnement normal, devinez : on est dans le brouillard !
Très contrariant, ce temps, décidément !
Et après une séance de remue-ménage intérieur, de décuirassage en profondeur, plus dangereuse qu'on ne le croit car je me suis fait mal au pied, me voici devant mon écran, tranquille et sans but précis.

Que c'est donc agréable de n'avoir pas de but précis !
Un peu de lecture, quelques petits points comptés, quelques échanges sur la peinture, les ponchos, les plantes et les imprimantes et ainsi va l'après-midi, sans bouger, doucement, vers le soir qui sera là tôt, ciel gris oblige !

Et entre-temps, un petit gâteau marbré qui embaume la maison... Voilà pourquoi je n'aurai jamais la ligne comme les Coréens !
Mais si Nico passe par là, je suis sûre qu'il aura un petit pincement en imaginant toutes ces douceurs auxquelles il n'aura pas goûté...

Et sans oublier de faire un petit tour pour terminer sur Internet pour dénicher quelques belles images que je vous livre ici... Fleurs de Californie, qui sont en train de brûler, avec tout le reste !

Et de suivre de loin ce qui se passe sur le Grenelle de l'environnement : un peu tape à l'oeil, non ? Je ne saurais dire si je trouve toute cette esbrouffe autour du sujet utile parce qu'on en parle ou bien si je n'ai pas l'impression qu'il s'agit de poudre aux yeux destinée à faire de la pub et à nous endormir ? Il est vrai que j'ai la même impression avec tout ce que fait Sarkozy, alors...

On termine avec une petite citation ?
De Saint-Exupéry, encore lui , pour ne pas oublier les choses essentielles :

"Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l'entendre comme récompense et non comme but."